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Par m.coubetergues le 13 Mai 2012 à 23:36
Un petit aperçu de la finale du concours C.Génial
qui a eu lieu le 12 mai au Palais de la Découverte à Paris
Nos représentants se sont vaillamment défendus !
un 6 ème prix a été obtenu pour le collège Victor Duruy de Mont de Marsan
un 2ème prix pour le lycée Bernard Palissy d'Agen
encore BRAVO à eux pour ces belles performances !
en attendant d'autres reportages ou articles
vous pouvez cliquer sur le lien suivant:diaporama finale Paris
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Par m.coubetergues le 8 Mai 2012 à 21:13
C’est parti! « Sciences à l’Ecole » a démarré le compte-à-rebours avant la finale nationale du concours C.Génial 2012
qui aura lieu
à Paris au Palais de la découverte
le 12 mai 2012
Nous allons suivre avec intérêt le collège Victor Duruy avec le projet
"la magie ça s'explique"
Nous sommes sûrs que cette équipe dynamique représentera fièrement les couleurs de l'Aquitaine
Nous leur souhaitons donc
BONNE CHANCE!
car en effet
•Plus d’une centaine de collégiens et lycéens finalistes triés parmi un millier de candidats participent!
• Il y en a bien sûr pour tous les goûts scientifiques! Mathématiques, sciences physiques, écologie…
• L' ambiance sera studieuse mais aussi festive dans un lieu magique!
• Des prix prestigieux seront distribués (visites exceptionnelles de sites industriels, de grands laboratoires de recherche, sélection pour le concours européen EUCYS et le concours chinois CASTIC…).
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Par action-culturelle le 8 Mai 2012 à 13:43
Les sciences à l’Ecole : retour sur un prétendu désamour
LE CERCLE. Ces dernières années, les universités françaises ont fait mention d’un constat alarmant : le nombre d’inscriptions en licence d’étudiants censés se destiner à des études longues dans les filières scientifiques est en nette diminution, les étudiants préférant s’engager dans des études courtes (BTS, IUT) donnant un accès rapide à un emploi.
Orientation allant de pair avec le fait que de moins en moins de bacheliers S s’orientent vers des études scientifiques. De surcroît, les filles sont sous-représentées dans ces mêmes filières.
La racine de ce mal est apparemment profonde, les causes multiples : des études supérieures apparaissant comme longues, difficiles et peu gratifiantes à la sortie de l’Université, une vision peu valorisante des sciences enseignées au collège et au lycée, une présence faible de l’enseignement des sciences expérimentales à l’école primaire.
La communauté scientifique s’est à nouveau mobilisée pour établir les diagnostics nécessaires et rechercher des solutions possibles.
1ère étape : aimer les sciences dès le plus jeune âge
Qui se souvient avoir été marqué dès son plus jeune âge par une expérience scientifique réalisée à l’école primaire ? Probablement pas les trentenaires, ni les générations précédentes… Les sciences dites expérimentales ne s’enseignaient pas dès le plus jeune âge. Et pourtant, n’est-ce pas entre 4 et 10 ans qu’un enfant est le plus curieux ? Il s’interroge, questionne les adultes sur le monde qui l’entoure et cherche à le comprendre. Cette curiosité naturelle est à la base de la démarche d’investigation du scientifique : s’interroger sur un fait (problématique), élaborer un raisonnement pour le comprendre, tirer des conclusions, les tester et chercher à les étendre à des faits similaires. Un enfant, satisfait intellectuellement face à ces questionnements, est un enfant qui est déjà préparé à aimer les sciences, quelle qu’en soit la complexité.
Depuis plusieurs années déjà, c’est l’ASTEP (Accompagnement en Sciences et Technologie à l’Ecole Primaire) tiré des activités de La Main à la Pâte (initiative de l’Académie des sciences) qui éveille les plus jeunes aux sciences. Rappelez-vous, par exemple, vos cours de physique et cette « sacrée » poussée d’Archimède, concept ô combien difficile à appréhender. Aujourd’hui, la poussée d’Archimède est abordée dès l’école maternelle. Demandez à des élèves de maternelle de porter un objet relativement lourd dans l’air puis de le porter dans l’eau : ils vous répondront unanimement que l’objet est moins difficile à porter dans l’eau, c’est donc bien que l’eau porte un peu l’objet… Et « le tour est joué », ils ont compris la quintessence de la poussée d’Archimède…
2ème étape : apprendre à relever des défis scientifiques
Mener une carrière scientifique aujourd’hui ne s’improvise pas : il faut le vouloir ! Pour cela, les élèves doivent être préparés dès leur plus jeune âge à affronter les défis « scientifiques », à persévérer, à communiquer, à travailler en équipe et à éprouver du plaisir intellectuellement par l’aboutissement d’un projet. C’est au collège et au lycée que les enseignants ont la grande responsabilité d’apprendre aux élèves à apprendre, à devenir autonomes face à leurs interrogations. Dans ce but, les programmes des matières scientifiques ont subi une rénovation afin que la démarche d’investigation soit appréhendée dès le collège. De même, les programmes de lycée, notamment en physique-chimie, ont été organisés à partir des fondements de la démarche scientifique et non plus classiquement à partir des spécialités contenues dans cette discipline. Difficile exercice sans doute pour des enseignants qui ont toujours suivi cette organisation classique de leur discipline.
Des initiatives ont été prises pour les aider, notamment dans un indispensable effort de formation et de rédaction des nouvelles épreuves du baccalauréat. Mais également, en marge des enseignements des programmes, et en articulation avec eux, sont proposés aujourd’hui des concours scientifiques pour, justement, impliquer la communauté scientifique française et éviter l’enfermement de l’enseignant face à sa classe d’année en année. Ces concours ont tous leur spécificité : le concours C.Génial pour les projets collège ou lycée innovants, toutes sciences confondus, en partenariat principalement avec des industriels mais aussi des universitaires ; les Olympiades de Physique Françaises pour les projets lycée de physique didactique ; le concours « Faites de la Science » pour les projets collège-lycée toutes sciences confondues en partenariat principalement avec des universitaires.
Parallèlement à une initiative telle que celle de la Main à la Pâte pour le 1er degré et les premières classes de collège existe « Sciences à l’Ecole » pour les collèges, les lycées et les classes post-bac. Ce dispositif ministériel est né en 2004 pour promouvoir la culture scientifique et technique dans les établissements scolaires. Il fédère plusieurs opérations sur le territoire national destinées à faire interagir la communauté scientifique, que ce soit l’enseignant en collège, lycée, classe post-bac, le chercheur à l’université ou l’ingénieur industriel.
3ème étape : voler de ses propres ailes
Ainsi, aujourd’hui, la relève apparaît au sein notamment des opérations de « Sciences à l’Ecole », qui propose des plateformes d’échanges entre les divers intervenants du monde des sciences : les élèves, les enseignants, les industriels, les universitaires, les associations militant pour la place des femmes dans le domaine scientifique… Ces échanges sont propices à susciter des vocations scientifiques chez les jeunes mais ils sont également bénéfiques pour tous les partenaires. Les parcours universitaires proposés peuvent par conséquent mieux s’adapter aux problèmes de société actuels, aux attentes de ce vivier de futurs chercheurs, ingénieurs, passionnés de sciences
Tous ces changements demandent du temps et une réorganisation sur le long terme. Le processus est bien amorcé.Les efforts faits dans le cadre du plan Sciences révèlent bien que lorsque la volonté est là et que les moyens humains et financiers suivent, l’évolution s’avère positive. Le passage du désamour à l’amour véritable des sciences ne pourra vraiment advenir sans une volonté commune de porter haut leurs couleurs.
L’équipe de « Sciences à l’Ecole »
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Par action-culturelle le 20 Avril 2012 à 21:07
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Par action-culturelle le 6 Avril 2012 à 10:56
Article de Sud Ouest du 05/04/2012 :
Par Jacques GuineThiviers
Des collégiens qui aiment les sciences
Lilian, Lisa, Siriane et Claire avec leur professeur de sciences physiques et le principal-adjoint.
17 élèves de l'atelier scientifique du collège Léonce-Bourliaguet ont participé à la finale du concours C Génial, qui se déroulait à l'Institut lasers et plasmas au Barp (Gironde) jeudi 22 mars. Cet atelier scientifique est utile en termes d'éducation, d'orientation et de citoyenneté. Il permet aux participants de suivre une démarche scientifique et des activités expérimentales, tout en prouvant en particulier aux filles qu'elles ont leur place et un rôle à jouer dans le monde scientifique.
Les partenairesDurant la finale, quatre élèves, Siriane Calamy, Lisa Dureux, Claire Mathieu Peyronet et Lilian Fedelique ont su mettre en valeur la rigueur de leurs travaux, l'interdisciplinarité et la collaboration fructueuse avec les différents partenaires : industriel (entreprise Fromarsac de Marsac-sur-l'Isle), culturel (Centre permanent d'initiatives pour l'environnement de Varaignes) et universitaire (Institut universitaire de technologie de génie chimique génie des procédés de Périgueux).
À l'issue de cette journée, ces quatre élèves, dont le projet s'intitulait « les molécules s'invitent à notre table », ont obtenu le deuxième prix, qui récompensait, entre autres, l'originalité et l'intérêt du projet, la qualité du travail réalisé ainsi que la maîtrise du vocabulaire scientifique et technique utilisé.
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Par action-culturelle le 4 Avril 2012 à 10:51
Vidéo du journal de France 3 Aquitaine le 22/03/2012 à 19h09
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